La nation qui fait la fête...
Je prends ma voiture : ne pas trop marcher. Je me gare – non loin de l'île Versailles - Je marche doucement – La chaleur est plus supportable ce soir. Je croise des couples qui se tiennent la main et se regardent tendrement – Des groupes d'amis qui discutent. Tous marchent dans la même direction. Je les suis tranquillement.
Je passe la place Royale, toujours en travaux. Arrive sur une place du commerce très animée. Ne m'y attarde pas. Débouche sur la place de la Bourse planté d'un énorme eventail en bois. Regarde un peu étonné les arbres dont ont a peint les troncs en blanc pour ne laisser apparaître que des profils par endroits – toujours le même.
Les gens se sont postés sur le quai – à droite, sur une scène, résonne de la musique africaine – Le thème de cette année, c'est le mali. Le pont aussi est envahi par la foule. Je m'arrête. Regarde ma montre : je suis en avance. Mon regard s'égare, se pose sur quelques garçons puis s'enfuit vers le ciel qui s'assombrit...
Soudain un homme, plutôt charmant, me parle : « c'est bien ici, le feux d'artifice ? » Je bafouille un : « oui à priori c'est ici – vous savez , je me suis contenté de suivre la foule ! » Il sourit, me remercie et poursuit son chemin. Je le regarde – il est bien de dos aussi ^ ^ Je le vois qui s'arrête non loin de là : un garçon danse avec des feux. Un jongleur d'artifices...
Après quelques minutes, la lumière s'éteind – Le spectacle commence – Des musiques du mali s'élèvent dans les airs en même temps que des fusées rouges, vertes et orange. Et puis quelques fusées d'argent, quelques fleurs d'étoiles orangées mais le ciel ne s'embrasent pas vraiment si ce n'est à l'occasion d'un maginifique tableau au cours duquel de la poussière d'or à envahit le ciel. Seul le final arrivera à me décrocher un sourire. Le tout n'aura duré qu'un petit quart d'heure...
Un peu déçu, j'ai repris mon chemin, longeant le quai...
Rue d'Orléans : Un garçon à vélo. Je le regarde - Il me regarde – Nos regard finissent pas se quitter quans il passe à coté de moi... J' hésite un instant à me retourner – Je ne le fais pas : « arrête de réver »...
Rue de Strasbourg, une jeune femme noire, très belle, me parle – Je ne comprends pas - Elle me répette : « tu veux faire l'amour ? » - Je lui répond que non et trace mon chemin – J'en croise deux autres avant d'arriver place du Pont Morand.... Manifestement, le 14 juillet, ce n'est pas la fête pour tout le monde...
Je passe la place Royale, toujours en travaux. Arrive sur une place du commerce très animée. Ne m'y attarde pas. Débouche sur la place de la Bourse planté d'un énorme eventail en bois. Regarde un peu étonné les arbres dont ont a peint les troncs en blanc pour ne laisser apparaître que des profils par endroits – toujours le même.
Les gens se sont postés sur le quai – à droite, sur une scène, résonne de la musique africaine – Le thème de cette année, c'est le mali. Le pont aussi est envahi par la foule. Je m'arrête. Regarde ma montre : je suis en avance. Mon regard s'égare, se pose sur quelques garçons puis s'enfuit vers le ciel qui s'assombrit...
Soudain un homme, plutôt charmant, me parle : « c'est bien ici, le feux d'artifice ? » Je bafouille un : « oui à priori c'est ici – vous savez , je me suis contenté de suivre la foule ! » Il sourit, me remercie et poursuit son chemin. Je le regarde – il est bien de dos aussi ^ ^ Je le vois qui s'arrête non loin de là : un garçon danse avec des feux. Un jongleur d'artifices...
Après quelques minutes, la lumière s'éteind – Le spectacle commence – Des musiques du mali s'élèvent dans les airs en même temps que des fusées rouges, vertes et orange. Et puis quelques fusées d'argent, quelques fleurs d'étoiles orangées mais le ciel ne s'embrasent pas vraiment si ce n'est à l'occasion d'un maginifique tableau au cours duquel de la poussière d'or à envahit le ciel. Seul le final arrivera à me décrocher un sourire. Le tout n'aura duré qu'un petit quart d'heure...
Un peu déçu, j'ai repris mon chemin, longeant le quai...
Rue d'Orléans : Un garçon à vélo. Je le regarde - Il me regarde – Nos regard finissent pas se quitter quans il passe à coté de moi... J' hésite un instant à me retourner – Je ne le fais pas : « arrête de réver »...
Rue de Strasbourg, une jeune femme noire, très belle, me parle – Je ne comprends pas - Elle me répette : « tu veux faire l'amour ? » - Je lui répond que non et trace mon chemin – J'en croise deux autres avant d'arriver place du Pont Morand.... Manifestement, le 14 juillet, ce n'est pas la fête pour tout le monde...