Des percussions dans la foule...
C'était une fête de la musique habituelle, avec quelques DJ et quelques groupes plus ou moins bons. Il y a eu un joli moment à l'église Saint Nicolas où pendant quelques instants, l'accès à l'étage qui mène à l'orgue a été (malencontreusement ?) ouvert....
Surtout, il y avait du monde, du monde et encore du monde... Je crois que je n'avais encore jamais vu le centre ville de Nantes aussi peuplé ....
Tout ce monde entassé devant les quelques musiciens qui jouaient dans des rues devenues trop étroites, tout ce monde qui se bousculait, qui avec son sandwich, qui avec son verre de bière, qui avec sa poussette essayant de se frayer un chemin...c'était presque déplaisant à force...
Et puis à un moment, tout cela à pris une autre allure. Quand le groupe de percussions brésiliennes Batala a commencé sa marche, place du Pilori, une grande partie de la foule les a suivi, pris par le rythme chaleureux et si entraînant de cette musique. J'ai suivi, avec Stéphane qui m'accompagnait, nous avons suivi le mouvement de cette foule qui dansait, sifflait, tapait des mains et des pieds au son des tambours. Et nous faisions de même. Alors la foule n'était plus étrangère et déplaisante. Nous étions la foule. Il y avait de la communion dans tout cela. Tous marchant vers le cours de cinquante otages, tous à danser, taper dans les mains, lever les bras en rythme... Il y avait de la joie dans tout cela, il y avait de la vie.
C'était le bon moment de la soirée.. Le moment où la musique a joué son plus beau rôle, à créée sa plus belle illusion : celle qui consiste à faire croire à celui qui l'écoute et qui se laisse porter par elle, qu'il n'est pas tout à fait seul en ce monde...
Surtout, il y avait du monde, du monde et encore du monde... Je crois que je n'avais encore jamais vu le centre ville de Nantes aussi peuplé ....
Tout ce monde entassé devant les quelques musiciens qui jouaient dans des rues devenues trop étroites, tout ce monde qui se bousculait, qui avec son sandwich, qui avec son verre de bière, qui avec sa poussette essayant de se frayer un chemin...c'était presque déplaisant à force...
Et puis à un moment, tout cela à pris une autre allure. Quand le groupe de percussions brésiliennes Batala a commencé sa marche, place du Pilori, une grande partie de la foule les a suivi, pris par le rythme chaleureux et si entraînant de cette musique. J'ai suivi, avec Stéphane qui m'accompagnait, nous avons suivi le mouvement de cette foule qui dansait, sifflait, tapait des mains et des pieds au son des tambours. Et nous faisions de même. Alors la foule n'était plus étrangère et déplaisante. Nous étions la foule. Il y avait de la communion dans tout cela. Tous marchant vers le cours de cinquante otages, tous à danser, taper dans les mains, lever les bras en rythme... Il y avait de la joie dans tout cela, il y avait de la vie.
C'était le bon moment de la soirée.. Le moment où la musique a joué son plus beau rôle, à créée sa plus belle illusion : celle qui consiste à faire croire à celui qui l'écoute et qui se laisse porter par elle, qu'il n'est pas tout à fait seul en ce monde...