Des excuses
Il s'était passé ça en juillet dernier. Je l'avais écrit le lendemain, peut-être pour me soulager. Je ne sais pas vraiment ce qui motive l'écriture de ce genre de choses. Je ne l'avais pas publié. J'avais déjà entérré mon blog une semaine auparavant. Après ou avant l'écriture de ce billet ( je ne sais plus), j'ai suprimé la base de donné du blog hébergé sur over-blog.
Et puis vers la fin de janvier dernier, il s'était aussi passé ça.
Ce ne sont que deux simples altercations. D'autres vivent bien pire. Il suffit d'ouvrir le journal pour s'en rendre compte. Hier encore, un garçon se baladant sur l'ile beaulieu et qui s'est pris un coup de poignard dans le bras, gratuitement.
Et pourtant ces deux petites aventures m'ont destabilisés. J'imagine qu'il suffit de parcourir quelques pages de ce blog pour ce rendre compte que je ne suis ni le garçon le plus fort ni le moins sensible qui soit...
Aujourd'hui, j'avais prévu de faire un petit retour sur mes engouements musicaux des derniers mois. Seulement les choses ne se passent manisfestement jamais comme on les prévoient.
Ce soir, dans le hall de mon immeuble, alors que je retirais quelques prospectus de ma boite aux lettres, j'ai à nouveau croisé le garçon de janvier dernier. Je l'ai vu à la porte et puis j'ai vu la porte s'ouvrir. on s'est reconnu bien sûr. J'ai fait comme si de rien n'était. Je lui ai même dit bonsoir, par défiance ou par bêtise, je ne sais pas... Il m'a dit bonjour aussi , à continué son chemin et puis dans mon dos je l'ai entendu qui s'excusait de son comportement de la dernière fois. Je me suis retourné. Je le voyais en train de me tenir la porte qui sépare le hall des boites aux lettres de celui qui mène à l'ascenseur... Il m'a expliqué qu'il s'était énervé mais que ce n'étais pas de ma faute, qu'il voulait règler un compte avec l'orthophoniste qu'il considère comme un pervers parce qu'il lui avait piqué sa petite amie. J'ai accepté ses excuses et lui ait dit de continuer son chemin parce que j'étais en train de me battre avec la serrure de ma boite aux lettres.
Je suis rentré chez moi et j'ai pleuré. A vrai dire j'ai encore les larmes aux yeux en écrivant ces lignes. Je ne sais pas si je me sens soulagé ou un peu consolé, ou si je me sens en colère ou ...juste trop sensible... Je ne sais juste pas quoi penser de tout ça....
Et puis vers la fin de janvier dernier, il s'était aussi passé ça.
Ce ne sont que deux simples altercations. D'autres vivent bien pire. Il suffit d'ouvrir le journal pour s'en rendre compte. Hier encore, un garçon se baladant sur l'ile beaulieu et qui s'est pris un coup de poignard dans le bras, gratuitement.
Et pourtant ces deux petites aventures m'ont destabilisés. J'imagine qu'il suffit de parcourir quelques pages de ce blog pour ce rendre compte que je ne suis ni le garçon le plus fort ni le moins sensible qui soit...
Aujourd'hui, j'avais prévu de faire un petit retour sur mes engouements musicaux des derniers mois. Seulement les choses ne se passent manisfestement jamais comme on les prévoient.
Ce soir, dans le hall de mon immeuble, alors que je retirais quelques prospectus de ma boite aux lettres, j'ai à nouveau croisé le garçon de janvier dernier. Je l'ai vu à la porte et puis j'ai vu la porte s'ouvrir. on s'est reconnu bien sûr. J'ai fait comme si de rien n'était. Je lui ai même dit bonsoir, par défiance ou par bêtise, je ne sais pas... Il m'a dit bonjour aussi , à continué son chemin et puis dans mon dos je l'ai entendu qui s'excusait de son comportement de la dernière fois. Je me suis retourné. Je le voyais en train de me tenir la porte qui sépare le hall des boites aux lettres de celui qui mène à l'ascenseur... Il m'a expliqué qu'il s'était énervé mais que ce n'étais pas de ma faute, qu'il voulait règler un compte avec l'orthophoniste qu'il considère comme un pervers parce qu'il lui avait piqué sa petite amie. J'ai accepté ses excuses et lui ait dit de continuer son chemin parce que j'étais en train de me battre avec la serrure de ma boite aux lettres.
Je suis rentré chez moi et j'ai pleuré. A vrai dire j'ai encore les larmes aux yeux en écrivant ces lignes. Je ne sais pas si je me sens soulagé ou un peu consolé, ou si je me sens en colère ou ...juste trop sensible... Je ne sais juste pas quoi penser de tout ça....